Voila, je pleus des yeux
Sans doute qu’un nuage
Est passé dire adieu
En bas de cette page
Je goutte du regard
L’été qui s’est flétri
Sur le quai de la gare
Où ton train est parti
Ces iris ruisselants
Sur ce papier de verre
Ces clins tout chancelants
De mon phare à paupières
Boulets de larmes lourdes
Quand c’est moi l’ennemi
Ont la tristesse de sourdre
Au fond de mon demi
C’est la fin de l’histoire
Les feuilles sont mouillées
Le grimoire est miroir
Où je m’étais grimé
Renaud de Hurlevent.